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Une bavette à l’échalote bien saignante, un rôti de porc aux pruneaux, des nuggets de poulets croustillants…
Miam, c’est bon la viande ! Et cela fait plus de 10 000 ans que l’on s’en délecte.
Sauf qu’à partir de la seconde guerre mondiale, tout s’accélère. L’élevage s’industrialise, un repas ne se conçoit plus sans
viande et par conséquent, en l’espace d’une cinquantaine d’années, notre consommation de viande QUINTUPLE.
Aujourd’hui, cet appétit carnivore dévorant ne fait pas que des heureux : l’élevage intensif provoque un impact
déplorable sur l’environnement et le bien-être animal. Alors quoi ? Faut-il tirer un trait sur la viande ? Ou simplement
tenter de dompter un peu notre appétit carnassier ?
Pour tenter d’apporter une réponse à ces questions, voici ce que l’on sait aujourd’hui sur le sujet :
EN FRANCE, MÊME SI NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE
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La grande majorité ne sert pas à abreuver les animaux mais à produire leur nourriture, à nettoyer les bâtiments et à maintenir
la
qualité de l’eau aux normes. Pour quantifier les volumes nécessaires à la production de nos steaks, aiguillettes et autres saucisses,
l’organisation Water Footprint Network a élaboré un système de calcul qui prend en considération 3 types d’eau
:
L’EAU VERTE
c’est l’eau de pluie qui arrose
naturellement les champs,
pas de
problème avec ça.
L’EAU BLEUE
c’est l’eau douce captée dans les eaux
de surfaces et nappes phréatiques
et utilisée principalement pour irriguer
les champs.
L’EAU GRISE
c’est l’eau employée pour diluer
les polluants dans l’eau dans les systèmes
de production.
EN MOYENNE DANS LE MONDE, DANS LES ÉLEVAGES
INDUSTRIELS, IL FAUT COMPTER :
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Il en faut en moyenne 2,2x plus d’eau bleue et grise pour produire 1 kg de porc en Australie qu’aux Pays-Bas,
car il faut beaucoup d’eau pour irriguer les champs dans ce pays chaud.
En Inde, il faut 3x plus d’eau pour produire 1kg de volaille en élevage industriel (928L) qu’aux Pays-Bas (242L).
On sait que l’élevage industriel représente la plus grande source sectorielle de pollution des eaux.
Mais comment ?
À travers le monde,
pour cultiver les céréales
et le soja dont se nourrissent
les bêtes, les agriculteurs
utilisent beaucoup de pesticides.
L’espace nécessaire pour accueillir les bêtes qu’on
mange et produire leur nourriture représente 30
%
de la surface terrestre.
Les pâturages ont ratiboisé un terrain considérable,
notamment en Amazonie où ils occupent aujourd’hui
70
% des terres autrefois boisées.
D’après l’OMS et les études du centre international de recherche sur le cancer, une trop grande consommation de viande
rouge et transformée (charcuterie, plats et sauces à base de viande, etc.) augmenterait les risques de cancer colorectal.
Si on ne connaît pas avec exactitude les quantités limites à respecter, l’OMS partage les estimations suivantes :
des 800 millions de poulets
de chair sont élevés tout serrés
— jusqu’à 22 par mètre carré —
dans des bâtiments sombres,
sans accès à l’extérieur.
des 25 millions de cochons
sont élevés sans paille dans des
bâtiments souvent surpeuplés
sur caillebotis, un sol ajouré
pour évacuer les excréments.
des 36 millions de lapins sont
élevés en batterie dans des
cages nues au sol grillagé.
Le risque de cancer colorectal augmenterait de 18
% pour une consommation quotidienne de 50g de viande transformée
et de 17
% pour 100g de viande rouge.
Faut-il se passer de viande alors qu’on est mordu de côtelette ? Au secours, non ! Mais peut-on éternellement soutenir
un mode de consommation nuisible pour l’environnement et la profession ? Face à ce dilemme, il existe un compromis :
Le combo magique ?
Associer des céréales aux légumineuses. C’est une combinaison que l’on retrouve dans toutes les cultures
(semoule + pois chiches en Afrique du Nord, tortilla + haricots rouges en Amérique centrale, riz + lentilles en Inde).
Découvrez la recette incontournable d’un tacos
végétarien savoureux et facile à faire
:
Et on pioche dans toutes les recettes sans viande
qui existent (il y en a un paquet) :
La recette du burger végétarien d’un restaurant
spécialisé dans les bons burgers :
La boucherie végétarienne est un bel oxymore qui vous fera
aimer les protéines végétales au goût animal : saucisse de
Francfort, boulettes de boeuf, et émincés de poulet.
Tout ça n’est pas très local, car les produits viennent
des Pays Bas, mais c’est sans OGM, et pratique car
la boucherie livre partout en France !
Et pour enrichir l’alimentation
des bêtes en protéine, la culture
du soja n’a cessé de croître
:
elle s’étend désormais sur 1 million
de KM2 dans le monde,
l’équivalent de la surface
de la France, de l’Allemagne,
de la Belgique
et des Pays-Bas réunis.
Au Brésil, dans l’état
du Mato-Grosso (principal état
producteur de soja du pays),
100
% des échantillons de lait
maternel analysés dans
le cadre d’une étude scientifique
contiennent un ou plusieurs
pesticides utilisés sur le soja.
C’est particulièrement vrai en Amérique du Sud où 24 millions d’hectares d’écosystèmes naturels ont été convertis
en pâturages et terres agricoles alors que l’Amazonie à elle seule abrite 10
% des animaux de la planète.
Il est probable que le secteur de l’élevage soit l’un des principaux responsables de la réduction de la biodiversité puisqu’il
est un facteur majeur de déforestation, de dégradation des terres, de pollution, de changement climatique, de sédimentation
des zones côtières et d’invasion d’espèces exotiques.
Les aliments des bêtes sont naturels (sans pesticides,
ni OGM, ni engrais de synthèse) et produits
majoritairement sur le lieu de l’élevage. L’élevage hors sol
(c’est-à-dire sur caillebottis) est interdit, la durée d’élevage
est plus longue, et les animaux sont traités au moyen
de thérapies naturelles (sauf rares indications
vétérinaires).
À travers les déjections
animales, des traces
d’antibiotiques rejoignent les
eaux. À terme, cela pose des
problèmes d'antibiorésistance
chez les humains. 514 tonnes
d’antibiotiques destinés aux
animaux ont été vendus
en France en 2015.
Pour améliorer la croissance
des bêtes, des antibiotiques
sont ajoutés à leur
alimentation.
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de sucre, ou même du cheval... D’accord, mais comment fait-on ?
On n'y pense pas souvent, mais on peut systématiquement se renseigner auprès des
commercants sur la provenance de leur viande et les conditions d’élevage.
S’ils bredouillent, c’est mauvais signe.
Vous pouvez aussi partir vous-même à la pêche aux infos en guettant la mention
“nourri à l’herbe” sur les étiquettes des produits et en cherchant des indices sur le lieu
de production. Privilégiez alors la viande produite localement, c’est-à-dire, lorsque
c’est possible, dans un rayon inférieur à 200 kms.
Il garantit surtout les qualités gustatives supérieures
de la viande. Sans aller jusqu’à l’exigence du label Bio,
l’élevage dure plus longtemps et respecte un cahier
des charges strict dans le respect de pratiques
traditionnelles.
Ce label privilégie une alimentation animale riche
en oméga 3 (herbe, colza, lin, luzerne) ce qui nous
garantit en échange des oeufs, des produits laitiers
et de la viande meilleurs pour notre sante.
Le label AOC garantit la qualité du produit car il est
fondé sur des critères gustatifs exigeants. Il certifie
une origine géographique et des procédés
de production mais ne dit rien sur les conditions
d’élevage ou la prise en compte des critères
environnementaux.
En revanche, les appellations AOP et IGP ne certifient
qu’une origine géographique de production ou
d’élevage, mais ne disent rien sur la qualité du produit
et les conditions d’élevage.
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BURGER VÉGÉTARIEN
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BOUCHERIE VÉGÉTARIENNE
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