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Your browser does not support SVG. Your browser does not support SVG. ÉVIDEMMENT, LE VOLUME D’EAU VARIE EN FONCTION DE LA ZONE GÉOGRAPHIQUE, DU TYPE D’EXPLOITATION ET D’ANIMAL ÉLEVÉ. Daccord, mais où est le problème ? Et bien, on en connaît au moins 5 qui sont loin dêtre anodins. à la fermentation gastrique des ruminants qui dégage énormément de méthane lorsqu’ils pè... à la transformation des animaux en steaks, saucissons ou escalopes et au transport de ces produits. à la production et la préparation des aliments nécessaires pour nourrir les bêtes durant leur élevage (préparation des engrais, travail de la terre, préparation des aliments, transports…). 86 KG DE VIANDE PAR PERSONNE ET PAR AN VS 77 KG EN 1970 + 55 % PLUS DE 300 MILLIONS DE TONNES DE VIANDE SONT PRODUITES CHAQUE ANNÉE. IL EST PRÉVU QUE LA PRODUCTION MONDIALE DE VIANDE ATTEIGNE 465 MILLIONS DE TONNES EN 2050 SOIT L’ÉLEVAGE A SOIF D’EAU …AU DÉTRIMENT DE L’HABITAT DES ANIMAUX SAUVAGES. L’IMPACT DE LA VIANDE SUR LA SANTÉ EST MIS EN QUESTION ON MANGE MOINS D’ANIMAUX EN FRANCE ET EST EXTRÊMEMENT POLLUANT. 32,5 KG 26,3 KG 24,2 KG 3 KG 100 % 540 T 66 % 30 % 50 G 100 G 14,5 % 14 % VS 39 % 10 % 6 % 45 % + 18 % + 17 % LA VIANDE DE LA DISCORDE Des protéines, on en trouve plein dans : ON EXPÉRIMENTE blé, riz, avoine, millet, boulgour LES CÉRÉALES pois, haricots, fèves, lentilles… LES LÉGUMINEUSES amandes, noix, noisettes… LES OLÉAGINEUX ON SE TOURNE VERS D’AUTRES SOURCES DE PROTÉINES L ’ÉLE V A GE E ST LA 1 RE C AUSE DE DÉ F OR E S TA TION DANS LE MONDE ! 83 % 95 % 99 % ON PEUT SE FIER À CERTAINS LABELS QUAND ON MANGE DES ANIMAUX, ON FAIT ATTENTION ON ENQUÊTE Pour les adeptes des commandes en ligne, on peut se procurer des pièces provenant d’une agriculture bio ou raisonnéedirectement auprès des producteurs : 1395 L 1174 L 1016 L 535 L 1 KG 1 KG 1 KG 1 KG Une bavette à l’échalote bien saignante, un rôti de porc aux pruneaux, des nuggets de poulets croustillants… Miam, c’est bon la viande ! Et cela fait plus de 10 000 ans que l’on s’en délecte.Sauf qu’à partir de la seconde guerre mondiale, tout s’accélère. L’élevage s’industrialise, un repas ne se conçoit plus sans viande et par conséquent, en l’espace d’une cinquantaine d’années, notre consommation de viande QUINTUPLE.Aujourd’hui, cet appétit carnivore dévorant ne fait pas que des heureux : l’élevage intensif provoque un impact déplorable sur l’environnement et le bien-être animal. Alors quoi ? Faut-il tirer un trait sur la viande ? Ou simplement tenter de dompter un peu notre appétit carnassier ?Pour tenter d’apporter une réponse à ces questions, voici ce que l’on sait aujourd’hui sur le sujet : EN FRANCE, MÊME SI NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE BAISSE DEPUIS 10 ANS, NOUS SOMMES TOUJOURS TRÈS CARNASSIERS : ET CLAIREMENT, DANS LE MONDE, LA VIANDE A TOUJOURS LA CÔTE ! DANS LE MONDE, L’ÉLEVAGE ÉMET AUTANT DE GAZ À EFFET DE SERRE QUE LE TRANSPORT : CES ÉMISSIONS SONT DUES : au stockage et à l’utilisation comme engrais du fumier et du lisier des bovins et de porcs La grande majorité ne sert pas à abreuver les animaux mais à produire leur nourriture, à nettoyer les bâtiments et à maintenir laqualité de l’eau aux normes. Pour quantifier les volumes nécessaires à la production de nos steaks, aiguillettes et autres saucisses, l’organisation Water Footprint Network a élaboré un système de calcul qui prend en considération 3 types d’eau: L’EAU VERTE c’est l’eau de pluie qui arrose naturellement les champs, pas deproblème avec ça. L’EAU BLEUE c’est l’eau douce captée dans les eaux de surfaces et nappes phréatiques et utilisée principalement pour irriguer les champs. L’EAU GRISEc’est l’eau employée pour diluer les polluants dans l’eau dans les systèmes de production. EN MOYENNE DANS LE MONDE, DANS LES ÉLEVAGES INDUSTRIELS, IL FAUT COMPTER : L’ÉLEVAGE ET LES CULTURES PRENNENT BEAUCOUP, BEAUCOUP DE PLACE… d’eau bleue et grise pour produire 1kg de viande de bœuf d’eau bleue et grise pour produire 1kg de viande de porc d’eau bleue et grise pour produire 1kg de viande de mouton d’eau bleue et grise pour produire 1kg de viande de volaille Il en faut en moyenne 2,2x plus d’eau bleue et grise pour produire 1 kg de porc en Australie qu’aux Pays-Bas, car il faut beaucoup d’eau pour irriguer les champs dans ce pays chaud.En Inde, il faut 3x plus d’eau pour produire 1kg de volaille en élevage industriel (928L) qu’aux Pays-Bas (242L). On sait que l’élevage industriel représente la plus grande source sectorielle de pollution des eaux. Mais comment ? À travers le monde, pour cultiver les céréales et le soja dont se nourrissent les bêtes, les agriculteurs utilisent beaucoup de pesticides. L’espace nécessaire pour accueillir les bêtes qu’on mange et produire leur nourriture représente 30% de la surface terrestre.Les pâturages ont ratiboisé un terrain considérable, notamment en Amazonie où ils occupent aujourd’hui 70% des terres autrefois boisées. D’après l’OMS et les études du centre international de recherche sur le cancer, une trop grande consommation de viande rouge et transformée (charcuterie, plats et sauces à base de viande, etc.) augmenterait les risques de cancer colorectal. Si on ne connaît pas avec exactitude les quantités limites à respecter, l’OMS partage les estimations suivantes : des 800 millions de poulets de chair sont élevés tout serrés — jusqu’à 22 par mètre carré  — dans des bâtiments sombres, sans accès à l’extérieur. des 25 millions de cochons sont élevés sans paille dans des bâtiments souvent surpeuplés sur caillebotis, un sol ajouré pour évacuer les excréments. des 36 millions de lapins sont élevés en batterie dans des cages nues au sol grillagé. Le risque de cancer colorectal augmenterait de 18% pour une consommation quotidienne de 50g de viande transforméeet de 17% pour 100g de viande rouge. Faut-il se passer de viande alors qu’on est mordu de côtelette ? Au secours, non ! Mais peut-on éternellement soutenir un mode de consommation nuisible pour l’environnement et la profession ? Face à ce dilemme, il existe un compromis : Le combo magique ?Associer des céréales aux légumineuses. C’est une combinaison que l’on retrouve dans toutes les cultures (semoule + pois chiches en Afrique du Nord, tortilla + haricots rouges en Amérique centrale, riz + lentilles en Inde). Découvrez la recette incontournable d’un tacos végétarien savoureux et facile à faire  : Et on pioche dans toutes les recettes sans viande qui existent (il y en a un paquet) : La recette du burger végétarien d’un restaurant spécialisé dans les bons burgers : La boucherie végétarienne est un bel oxymore qui vous fera aimer les protéines végétales au goût animal : saucisse de Francfort, boulettes de boeuf, et émincés de poulet. Tout ça n’est pas très local, car les produits viennent des Pays Bas, mais c’est sans OGM, et pratique car la boucherie livre partout en France ! Et pour enrichir l’alimentation des bêtes en protéine, la culture du soja n’a cessé de croître: elle s’étend désormais sur 1 million de KM2 dans le monde, l’équivalent de la surface de la France, de l’Allemagne, de la Belgique et des Pays-Bas réunis. Au Brésil, dans l’état du Mato-Grosso (principal état producteur de soja du pays), 100% des échantillons de lait maternel analysés dans le cadre d’une étude scientifique contiennent un ou plusieurs pesticides utilisés sur le soja. C’est particulièrement vrai en Amérique du Sud où 24 millions d’hectares d’écosystèmes naturels ont été convertis en pâturages et terres agricoles alors que l’Amazonie à elle seule abrite 10% des animaux de la planète. Il est probable que le secteur de l’élevage soit l’un des principaux responsables de la réduction de la biodiversité puisqu’il est un facteur majeur de déforestation, de dégradation des terres, de pollution, de changement climatique, de sédimentation des zones côtières et d’invasion d’espèces exotiques. Les aliments des bêtes sont naturels (sans pesticides, ni OGM, ni engrais de synthèse) et produits majoritairement sur le lieu de l’élevage. L’élevage hors sol (c’est-à-dire sur caillebottis) est interdit, la durée d’élevage est plus longue, et les animaux sont traités au moyen de thérapies naturelles (sauf rares indications vétérinaires). À travers les déjections animales, des traces d’antibiotiques rejoignent leseaux. À terme, cela pose desproblèmes d'antibiorésistance chez les humains. 514 tonnes d’antibiotiques destinés aux animaux ont été vendus en France en 2015. Pour améliorer la croissance des bêtes, des antibiotiques sont ajoutés à leur alimentation. Riches en azote et phosphore, on se sert des déjections animales comme engrais appelé lisier. LES CONDITIONS D’ÉLEVAGE DES ANIMAUX FONT RÉFLÉCHIR L’ANSES (AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE DE L’ALIMENTATION DE L’ENVIRONNEMENT ET DU TRAVAIL) RECOMMANDE DE CONSOMMER AU MAXIMUM 70 GRAMMES DE VIANDE (HORS VOLAILLE) ET 25 GRAMMES DE CHARCUTERIE CHAQUE JOUR. ON RÉINVENTE SA FAÇON DE CUISINER On évite les plats préparés qui sont souvent plus gras, contiennent plus de sel, de sucre, ou même du cheval... D’accord, mais comment fait-on ? On n'y pense pas souvent, mais on peut systématiquement se renseigner auprès descommercants sur la provenance de leur viande et les conditions d’élevage.S’ils bredouillent, c’est mauvais signe.Vous pouvez aussi partir vous-même à la pêche aux infos en guettant la mention“nourri à l’herbe” sur les étiquettes des produits et en cherchant des indices sur le lieu de production. Privilégiez alors la viande produite localement, c’est-à-dire, lorsque c’est possible, dans un rayon inférieur à 200 kms. Il garantit surtout les qualités gustatives supérieures de la viande. Sans aller jusqu’à l’exigence du label Bio, l’élevage dure plus longtemps et respecte un cahier des charges strict dans le respect de pratiques traditionnelles. Ce label privilégie une alimentation animale richeen oméga 3 (herbe, colza, lin, luzerne) ce qui nousgarantit en échange des oeufs, des produits laitierset de la viande meilleurs pour notre sante. Le label AOC garantit la qualité du produit car il est fondé sur des critères gustatifs exigeants. Il certifie une origine géographique et des procédés de production mais ne dit rien sur les conditions d’élevage ou la prise en compte des critères environnementaux. En revanche, les appellations AOP et IGP ne certifient qu’une origine géographique de production ou d’élevage, mais ne disent rien sur la qualité du produit et les conditions d’élevage. Utilisé à trop forte dose, les nitrates de ce lisier se répandent dans leau et contribuent au développement dalgues qui absorbent loxygène cessaire à la vie dautres espèces aquatiques. Cest leutrophisation. En France, la présence de nitrates dans les eaux continentales provient à 66% de lagriculture, suite à lépandage de doses massives dengrais de synthèse et de lisier. 1M KM 2 INFOGRAPHIE RÉALISÉE EN PARTENARIAT AVEC : earthhour earthhour
TACOS INOUBLIABLES> CUISINE POP> BURGER VÉGÉTARIEN> BOUCHERIE VÉGÉTARIENNE> AHLAVACHE>
Your browser does not support SVG. txt-mobile1 On y pense pas souvent, mais on peut systématiquement se renseigner auprès des commercants sur la provenance de leur viande et les conditions délevage. S’ils bredouillent, cest mauvais signe. Vous pouvez aussi partir vous même à la pêche aux infos en guettant la mention "nourri à l’herbe" sur les étiquettes des produits et en cherchant des indices sur le lieu de production. Privilégiez alors la viande produite localement, c'est à dire, lorsque c'est possible, dans un rayon infèrieur à 200kms. 1 QUAND ON MANGE DES ANIMAUX, ON FAIT ATTENTION On évite les plats préparés qui sont souvent plus gras, contiennent plus de sel, de sucre, ou même du cheval... Daccord, mais comment fait-on ? ON ENQUÊTE Le combo magique ? Associer des céréales aux gumineuses. Cest une combinaison que lon retrouve dans toutes les cultures (semoule + pois chiches en Afrique du Nord, tortilla + haricots rouges en Amérique centrale, riz + lentilles en Inde). Et on pioche dans toutes les recettes sans viande qui existent (il y en a un paquet) : couvrez la recette incontournable d’un tacos végétarien savoureux et facile à faire : La recette du burger végétarien d’un restaurant spécialisé dans les bons burgers : La boucherie végétarienne est un bel oxymore qui vous fera aimer les protéines végétales au goût animal : saucisse de Francfort, boulettes de boeuf, et émincés de poulet. Tout ça nest pas très local, car les produits viennent des Pays Bas, mais cest sans OGM, et pratique car la boucherie livre partout en France ! ON RÉINVENTE SA FAÇON DE CUISINER ON EXPÉRIMENTE ON SE TOURNE VERS D’AUTRES SOURCES DE PROTÉINES pois, haricots, fèves, lentilles… amandes, noix, noisettes… LES LÉGUMINEUSES LES OLÉAGINEUX Des protéines, on en trouve plein dans : blé, riz, avoine, millet, boulgour LES CÉRÉALES ON MANGE MOINS D’ANIMAUX L’ANSES (AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE DE L’ALIMENTATION DE L’ENVIRONNEMENT ET DU TRAVAIL) RECOMMANDE DE CONSOMMER AU MAXIMUM 70 GRAMMES DE VIANDE (HORS VOLAILLE) ET 25 GRAMMES DE CHARCUTERIE CHAQUE JOUR. Et pour enrichir lalimentationEt pour enrichir l’alimentation des bêtes en protéine, la culture du soja n’a cessé de croître: elle s’étend désormais sur 1 million de KM2 dans le monde, l’équivalent de la surface de la France, de l’Allemagne, de la Belgique et des Pays-Bas réunis. 1M KM 2 45 % 6 % 10 % 39 % au stockage et à l’utilisation comme engrais du fumier et du lisier des bovins et des porcs. à la fermentation gastrique des ruminants qui dégage énormément de méthane lorsqu’ils pè... à la transformation des animaux en steaks, saucissons ou escalopes et au transport de ces produits. à la production et la préparation des aliments cessaires pour nourrir les tes durant leur élevage (préparation des engrais, travail de la terre, préparation des aliments, transports…). La grande majorité ne sert pas à abreuver les animaux mais à produire leur nourriture, à nettoyer les bâtiments et à maintenirla qualité de l’eau aux normes. Pour quantifier les volumes cessaires à la production de nos steaks, aiguillettes et autres saucisses, lorganisation Water Footprint Network a élaboré un système de calcul qui prend en considération 3 types deau : L’ÉLEVAGE A SOIF D’EAU 2 L’EAU VERTE cest leau de pluie qui arrose de problème avec ça. L’EAU BLEUE cest leau douce captée dans les eaux de surfaces et nappes phréatiques et utilisée principalement pour irriguer les champs. L’EAU GRISE cest leau employée pour diluer les polluants dans leau dans les systèmes de production. EN MOYENNE DANS LE MONDE, DANS LES ÉLEVAGES INDUSTRIELS, IL FAUT COMPTER : deau bleue et grise pour produire 1kg de viande de bœuf 1395 Faut-il se passer de viande alors quon est mordu de côtelette ? Au secours, non ! Mais peut-on éternellement soutenir un mode de consommation nuisible pour lenvironnement et la profession ? Face à ce dilemme, il existe un compromis : 95 % 83 % 99 % LA VIANDE DE LA DISCORDE Une bavette à léchalote bien saignante, un rôti de porc aux pruneaux, des nuggets de poulets croustillants… Miam, cest bon la viande ! Et cela fait plus de 10 000 ans que lon sen délecte. Sauf quà partir de la seconde guerre mondiale, tout saccélère. L’élevage s’industrialise, un repas ne se conçoit plus sans viande et par conséquent, en lespace d’une cinquantaine dannées, notre consommation de viande QUINTUPLE. Aujourd’hui, cet appétit carnivore dévorant ne fait pas que des heureux : lélevage intensif provoque un impact déplorable sur lenvironnement et le bien-être animal. Alors quoi ? Faut-il tirer un trait sur la viande ? Ou simplement tenter de dompter un peu notre appétit carnassier ? Pour tenter dapporter une réponse à ces questions, voici ce que lon sait aujourd’hui sur le sujet : 86 KG DE VIANDE PAR PERSONNE ET PAR AN VS 77 KG EN 1970 EN FRANCE, MÊME SI NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE BAISSE DEPUIS 10 ANS, NOUS SOMMES TOUJOURS TRÈS CARNASSIERS : 32,5 KG 24,2 KG 3 KG 26,3 KG ET CLAIREMENT, DANS LE MONDE, LA VIANDE A TOUJOURS LA CÔTE ! PLUS DE 300 MILLIONS DE TONNE S DE VIANDE SONT PRODUITES CHAQUE ANNÉE. IL EST PRÉVU QUE LA PRODUCTION MONDIALE DE VIANDE ATTEIGNE 465 MILLIONS DE TONNES EN 2050 SOIT + 55 % Daccord, mais où est le problème ? Et bien, on en connaît au moins 5 qui sont loin dêtre anodins. DANS LE MONDE, L’ÉLEVAGE ÉMET AUTANT DE GAZ À EFFET DE SERRE QUE LE TRANSPORT : 1 VS 14,5 % 14 % CES ÉMISSIONS SONT DUES : L 1 KG deau bleue et grise pour produire 1kg de viande de porc 1174 L 1 KG deau bleue et grise pour produire 1kg de viande de mouton 1016 L 1 KG deau bleue et grise pour produire 1kg de viande de volaille 535 L 1 KG ÉVIDEMMENT, LE VOLUME D’EAU VARIE EN FONCTION DE LA ZONE GÉOGRAPHIQUE, DU TYPE D’EXPLOITATION ET D’ANIMAL ÉLEVÉ. Il en faut en moyenne 2,2x plus deau bleue et grise pour produire 1 kg de porc en Australie quaux Pays-Bas, car il faut beaucoup deau pour irriguer les champs dans ce pays chaud. En Inde, il faut 3x plus deau pour produire 1kg de volaille en élevage industriel (928L) qu'aux Pays-Bas (242L). ET EST EXTRÊMEMENT POLLUANT. On sait que lélevage industriel représente la plus grande source sectorielle de pollution des eaux. Mais comment ? À travers le monde, pour cultiver les céréales et le soja dont se nourrissent les bêtes, les agriculteurs utilisent beaucoup de pesticides. Pour améliorer la croissance des bêtes, des antibiotiques sont ajoutés à leur alimentation. 100 % Au Brésil, dans l’état du Mato-Grosso (principal état producteur de soja du pays), 100% des échantillons de lait maternel analysés dans le cadre d’une étude scientifique contiennent un ou plusieurs pesticides utilisés sur le soja. 540 T À travers les déjections animales, des traces dantibiotiques rejoignent les eaux. À terme, cela pose des problèmes d'antibiorésistance chez les humains. 514 tonnes d'antibiotiques destinés aux animaux ont été vendus en France en 2015. Utilisé à trop forte dose, les nitrates de ce lisier se répandent dans leau et contribuent au développement dalgues qui absorbent loxygène nécessaire à la vie dautres espèces aquatiques. Cest leutrophisation. En France, la présence de nitrates dans les eaux continentales provient à 66 % de lagriculture, suite à lépandage de doses massives dengrais de synthèse et de lisier. Pour améliorer la croissance des bêtes, des antibiotiques sont ajoutés à leur alimentation. 66 % L’ÉLEVAGE ET LES CULTURES PRENNENT BEAUCOUP, BEAUCOUP DE PLACE… 3 L’espace nécessaire pour accueillir les bêtes quon mange et produire leur nourriture représente 30 % de la surface terrestre. Les pâturages ont ratiboisé un terrain considérable, notamment en Amazonie où ils occupent aujourd'hui 70% des terres autrefois x="145.73" y="0">fois boisées. 30 % …AU DÉTRIMENT DE L’HABITAT DES ANIMAUX SAUVAGES. Cest particulièrement vrai en Amérique du Sud où 24 millions d’hectares décosystèmes naturels ont été convertis en pâturages et terres agricoles alors que lAmazonie à elle seule abrite 10 % des animaux de la planète. Il est probable que le secteur de lélevage soit l’un des principaux responsables de la réduction de la biodiversité puisqu’il est un facteur majeur de forestation, de dégradation des terres, de pollution, de changement climatique, de sédimentation des zones côtières et d’invasion despèces exotiques. L’ÉLEVAGE EST LA 1 RE CAUSE DE DÉFORESTATION DANS LE MONDE ! L’IMPACT DE LA VIANDE SUR LA SANTÉ EST MIS EN QUESTION Daprès lOMS et les études du centre international de recherche sur le cancer, une trop grande consommation de viande rouge et transformée (charcuterie, plats et sauces à base de viande, etc.) augmenterait les risques de cancer colorectal. Si on ne connaît pas avec exactitude les quantités limites à respecter, lOMS partage les estimations suivantes : 100 G + 17 % + 18 % 50 G Le risque de cancer colorectal augmenterait de 18 % pour une consommation quotidienne de 50 g de viande transformée et de 17 % pour 100g de viande rouge. LES CONDITIONS D’ÉLEVAGE DES ANIMAUX FONT RÉFLÉCHIR 5 4 EN FRANCE des 800 millions de poulets de chair sont élevés tout serrés — jusqu’à 22 par mètre carré — dans des bâtiments sombres, sans accès à l’extérieur. des 25 millions de cochons sont élevés sans paille dans des bâtiments souvent surpeuplés sur caillebotis, un sol ajouré pour évacuer les excréments. des 36 millions de lapins sont élevés en batterie dans des cages nues au sol grillagé. TACOS INOUBLIABLES> CUISINE POP> BURGER VÉGÉTARIEN> BOUCHERIE VÉGÉTARIENNE> AHLAVACHE>
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